L’une des Mission du Projet « H-IA-P », la détection d’une forme de vie Extraterrestre.
La vie Extraterrestre désigne toute forme de vie pouvant exister ailleurs que sur la planète Terre. À ce jour, l’existence de la vie Extraterrestre reste hypothétique puisqu’aucune vie en dehors de la planète Terre n’a encore été découverte par les scientifiques…
Sommes-nous seuls dans l’Univers ?
C’est une question qui taraude l’humanité et pourtant la probabilité que Non est une évidence. Tant l’Univers est immense et que la recherche de vie Extraterrestre est récente.
Si nous, nous référons aux relevés des télescopes tels que Kepler et le Tess (Transiting Exoplanet Surveey Satellite), il est estimé qu’il y aurait au moins 300 millions d’Exoplanètes pouvant potentiellement abriter de l’eau à l’état liquide.
Aux origines, le Père du « Seti » (Le Seti, traite de la recherche de messages provenant d’Extraterrestres) et « Meti » (Le Meti, traite de la création et de la transmission de messages au Extraterrestres), l’astronome « Frank Drake » avait dirigé la création du message « d’Arecibo » en 1974 qui comprenait des données mathématiques et chimiques de base, une représentation de l’ADN, ainsi que des informations sur la population Humaine, notre Système solaire et notre technologie, le tout encodé en 1979 chiffres binaires.
Des modèles de langage open source plus petits, comme le « Llama-3-70B de Meta » et le « Mistral 8x22B de Mistral AI », pourraient être utilisés. Le « Llama-3-70B », par exemple, mesure environ 130 Gigaoctets, mais grâce à une technique appelée Quantification, il serait possible de réduire cette taille à quelques Gigaoctets tout en conservant ses performances, ce qui est crucial pour une communication interstellaire ou l’Intelligence Artificielle devrait fonctionner de manière autonome sans connexion Internet.
Les défis technologiques :
La Radio, large mais lente ou le Laser qui est directionnel et rapide…
Si nous prenons l’exemple du « Lunar Reconnaissance Orbiter » de la Nasa, il atteint des débits de transmission de données allant jusqu’à 100Mbps pour la liaison descendante, ce qui permettrait de transmettre le modèle « Llame-3-70B » en environ une demi-heure. la communication laser lunaire, ayant atteint des débits de 622Mbps, pourrait réduire ce temps de transmission à environ cinq minutes.
Du côté de la mission « Psyché » de la Nasa, le test d’un dispositif de communication laser atteignant quelques centaines de Mbps. Avec la technologie actuelle, la communication interstellaire serait limitée à 100 bits par seconde, nécessitant des centaines d’années pour envoyer une IA à « Alpha Centauri » qui est l’étoile la plus proche. En revanche, un modèle de quelques gigaoctets pourrait être transmis en moins de 20 ans. D’autres idées sont proposées pour transmettre davantage de données sur des années-lumière comme l’utilisation de plusieurs puissants laser pour atteindre 100 Gigawatts ou l’emploi du Soleil comme lentille gravitationnelle pour amplifier les signaux.